Nous sommes à la fin de l'année 2024 et j'ai durant cette journée pris conscience d'un fait personnel important.
Les années de 1999 à 2024.
Tout abord, pourquoi l'année 1999 ? Tout simplement parce que c'est l'année où je fus sur le marché de l'emploi mettant fin à la vie d'étudiant. Mon premier emploi fut au Mac Donald's, cela m'a permis de pourvoir avoir un revenu, de financer mes études à l'université et payer mon logement. Mais ceci n'est pas la raison principale de ma pensée car je veux en venir au problème qui touche de nombreux français dans les débuts des années 2000 et même en 2024. C'est la cotisation pour la retraite car il faut travailler un certain nombre d'année pour pouvoir jouir d'une allocation de la retraite. Hors le bilan des années de travail en France est catastrophique ! De 1999 à 2005, je n'ai travaillé qu' à mi temps car je suivais des cours à l'université, ensuite il y eut une année blanche en raison du service national. De 2005 à 2006, j'avais quitté la France pour aller au Canada pendant une année. De 2007 à 2017 furent pour moi des années noire où j'etais plus au chômage qu'en activité ! Sur les 10 ans, je ne devrais pas totalisé plus de 3 ans de travail ! Incroyable mais vrai. Alors mon départ de la France pour le Royaume-Uni en 2017 fut une bonne chose d'accompli car en huit ans, j'ai au moins 7 années de travail que j'ai pu cotisé. Ce qui n'est pas le cas en France. Je regrette de n'avoir pas quitté la France en 2007 quand j'étais revenu du Canada. Voilà pourquoi je veux prendre la nationalité britannique car je suis sûr d'avoir une retraite correcte dans 15 ou ou 18 ans. Pour moi, la France est un mauvais cauchemar que j'ai oublié depuis plusieurs années. Depuis que je suis au Royaume-Uni, j'ai pu accomplir plusieurs choses que je n'aurai pas pu le faire en France. J'ai une pensée à ceux de ma génération qui sont en France et qui galère mais aussi aux plus jeunes désespérés. Si j'ai un conseil à leur donner, de saisir toutes les opportunités qui s'offrent à eux, de ne pas être limité à la France. À méditer !
Maâtabalo
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