Vivre sa vie et non survivre dans la vie.

Pour illustrer mes propos, je vais utiliser mon expérience personnelle. Actuellement, je suis à Londres depuis sept ans et je suis sans activité professionnelle depuis un an. Je perçois une indemnité mensuelle, je vis en colocation mais malgré tout cela je réalise que ma vie n'a pas de véritable sens. Comme un prisonnier qui est maintenu en vie afin d'avoir le plaisir de me tourmenter. C'est la vie que mène beaucoup de personnes, métro, boulot et dodo ! Voilà pourquoi il y a des maladies mentale très importante dans les pays industrialisés. Mes indemnités sont calculés de manière à payer le logement, la nourriture et certains frais. L'objectif est de créer une dépendance ou une assistanat chez les individus, en un mot, des esclaves. Leur faculté de réflexion est perturbé, pas de pensée critique. Beaucoup d'individus survivent dans la vie, le modèle de vie préfabriqué par le système étatique. L'individu n'a pas de vie proprement à lui, il n'existe qu'à travers la masse, la société. Ce constat découlant de faits vécu au Royaume-Uni 🇬🇧, au Canada 🍁 et en France 🇫🇷 est pour moi, identique dans l'ensemble des pays occidentaux. Celui qui vit sa vie est celui qui accompli sa mission c'est à dire ces aspirations intérieur comme un artiste qui peint un tableau, un écrivain ou un chanteur. Il ou elle le fait d'elle même sans recevoir un ordre extérieur. Je suis conscient que ma place n'est pas en Occident mais sur le continent africain. Pour mes projets, famille, travail, loisirs et bien-être se trouvent sur ce continent. Si je recevais une proposition d'emploi au Togo 🇹🇬 ou ailleurs en Afrique, je quitterai sans hésiter le Royaume-Uni 🇬🇧. Je suis comme un oiseau en cage. Je sais ce que je veux donc je sais aussi ce que je ne veux pas ! Je devrais être au milieu de la nature, dans mon jardin à travailler au lieu d'être bloqué dans une maison 🏡 avec des colocataires LGBT différents de moi. C'est vraiment une souffrance de vivre cette situation au quotidien mais j'ai appris à supporter ces épreuves car elles me rendent plus fort. Je suis même prêt à vendre ma nationalité française pour pouvoir réaliser mes activités en Afrique. Les occidentaux survivent dans la vie en souffrant en silence grâce aux médicaments, drogues, alcools et que sais-je encore ? À méditer !

Maâtabalo