Principe de lâcheté et de sadisme des politiciens togolais.

Je fus terriblement attristé et choqué d'appprendre que le frère de la victime assassiné Calixte Batossie Madjoulba, ambassadeur en France, au moment des faits, le 4 mai 2020, accepta sa nomination au poste de ministre de la sécurité civil, le 08 septembre 2023. Alors le corps de son frère colonel Bitala Madjoulba repose dans une chambre froide depuis 3 ans sans être enterré et que la justice n'a pas encore fait la lumière sur cet acte honteux et odieux. Seul au Togo, une telle fiction de série B est possible par le réalisateur  et producteurs. Ces autorités togolaise sont les producteurs de ce film horrible de série B avec pour réalisateur F. Gnassingbe et les acteurs militaires assassins. Mais pire encore, dans le scénario du réalisateur, le frère de la victime va accepter de travailler dans l'équipe qui a perpétré l'assassinat. Est ce par peur ? Est ce pour l'argent ? Son acceptation est un acte de lâcheté auquel beaucoup de togolaises et de togolais ne se retrouvent pas. Il pouvait prendre le chemin de l'exil comme le fit le ministre François Boko. Son acte est inexcusable, s'associer à un sadique à la personne de F. Gnassingbe qui voit la souffrance du peuple et continu à le faire danser dans le désespoir afin de pouvoir jouir au maximum du plaisir que lui procure le pouvoir politique. Jamais je ne viendrai au Togo, ni dans les pays en Afrique de l'Ouest, tant que celui-ci, son parti RPT UNIR et son gouvernement sont au pouvoir. Mieux encore, jour et nuit, j'exposerai tout leur faits et gestes de ces clochards de la politique, la honte de la nation togolaise. C'est une action politique réfléchi avec une touche de sadisme à la française car avant sa chute, il veut entraîner avec lui tous les lâches qui se sont associés à lui, F. Gnassingbe. Les réalisateurs de Hollywood mais aussi de Nollywood (Nigeria) peuvent s'inspirer de ce fait pour faire un feuilleton série ou un film. J'en éprouve de la honte associé à la révolte. Les fruits pourris tombent toujours de l'arbre mauvais ! À méditer !

APB